"Tourner deux Scopitones avec David m'a permis de prendre conscience de mon obsession refoulée pour les chevaux. Depuis, j'apprends à vivre avec cette nouvelle déviance, et m'en accommode ma foi plutôt bien. La médecine moderne ayant mis au point des pommades très efficaces, je peux m'adonner avec joie à ma nouvelle passion, pour le plus grand bonheur de mon pharmacien.
De plus, David a su recréer l'ambiance des tournages d' "Extrême Limite", ce qui m'a permis de me réconcilier avec l'idée que je ne jouerai jamais dans cette série qui s'est arrêtée trop vite, nous laissant tous orphelins d'un programme télévisuel de qualité jamais égalé à ce jour."

« Alors que je m'apprêtais à préparer des crêpes, David Vallet, me laissa un message sur mon téléphone portable.
Je le rappelais aussitôt, de la pâte à crêpe sur les doigts. Celui-ci me demanda un rendez-vous. Il s'agissait de faire un clip-vidéo de mon groupe Bow Low. Je lui dit :"Pourquoi pas, c'est une bonne idée !" En réalité il s'agissait bien moins qu'un simple clip... Un Scopitone !
Le premier jour de tournage j'eus très peur, car je devais courir au ralenti et chanter en accéléré, en même temps ! Le deuxième jour de Tournage... Ah bah non c'était fini et déjà posté sur l'internet ! Voilà, au revoir.
En tout cas, c'était super.
Ps : Les touches de mon téléphone portable étaient resté coincées à cause de la pâte à crêpes, je suis aujourd'hui en procès contre David Vallet. »

« Un décor insolite, trois accessoires, la tronche du jour et hop, play-back !
A toute vitesse, en quelques plans déclinés, David enregistre ses visions.
Quand on se sépare deux heures plus tard, personne n’a eu d’autre choix que la spontanéité, si précieuse au rock.
David est un homme rare : efficace, rapide, généreux, enthousiaste, il crée une série en couleurs dont les héros sont des groupes ou vedettes solo qu’il apprécie tout particulièrement. Nous sommes fiers d’en être.
Longue vie, Scopitone is not Dead ! »

« Quand on fait un groupe, on rêve de laisser une trace.
Grace aux scopitones David, c'est une saignée qui traverse les strates de l'indifférence que l'on donne à voir.
Mettez en prime, poésie, regard qui brille d'intelligence, humour, tendresse, génie, confiance, écoute, respect.
A l'ancienne, et pourtant avant-gardiste, ou l'inverse, bref, tous ensemble, les scopitonés, on entre dans la légende.
C'est sûr. Personnellement, je sais que je peux mourir tranquille.»

« Scopitone is totally alive. David Vallet is totally alive.
Rock'n'roll is totally alive,so we are ! Future and Superlove ! »

« C'est trop de la balle atomique qui tue sa rem dans ta face même si ce tarba de bouffon de Patatra dit que c'est pas des vrais scopitones ! »

"Quand j'étais petit je rêvais d'être David Vallet, mais la place était déjà prise. Du coup je me suis contenté de faire des scopitones avec lui, et c'était à chaque fois une expérience qui restera gravée dans ma mémoire pour l'éternité, voire un peu plus."

« Il n’est pas fou ce gaillard. Il arrive discrètement, sans faire de bruit, s’imprègne des lieux et des personnages : c’est le début de son immersion. Quelques questions techniques, une ou deux observations, un timide conseil amené avec la formule qui va bien : « hum, si je peux me permettre, je verrais bien … ».
Ensuite, c’est la magie qui opère, sa magie, la sienne, celle qu’il cultive depuis le début. Il n’a rien changé, il savait déjà … Il a le chic pour te mettre en relief le détail qui tue, celui dont il ne t’a même pas parlé. Il jubile … c’est son empreinte.
Tu regardes, tu savoures, il n’a rien oublié : encore un scopitone de plié.»

« David Vallet filme comme les vrais singes déglingués que nous sommes, pratiquant le BOOGA WOOGA, dans l'urgence , fonçant à l'évidence, sans chichis à la con pour gommeux navrants et c'est pour ça que nous raffolons de sa série chérie.»

« Dés leur apparition au début des années 80, j'ai détesté les clips vidéos avec leur surenchère d'effets et leurs images proprettes héritées de la pub et fabriquées par des "créatifs" qui ne cessèrent ces 30 dernières années de nous asséner leur propagande libérale.
Dans les années 60 et 70 les images de rock'n'roll étaient rares, tournées rapidemment et ce que l'on demandait aux groupes, c'était d'être bon et beaux, des gens uniques jouant une putain de chanson.
David aiment les bons titres et sait en capter l'essence.Ses scopitones renouent avec son modèle, pas de maestria technique dégueulante, juste restituer l'esprit d'un groupe et sa musique: à nous d'être bons et "beaux ", ce qui peut vouloir dire délicieusement vulgaires ! »

"Avec David Vallet c'est toujours absurde. Tout est toujours est possible. Des fois il dit des choses que je comprends pas. Des fois je dis des choses qu'il ne comprend pas. De ces incompréhensions naissent des idées brillantes que même la Gaumont et David Lynch nous envient !"

« David Vallet est tout simplement le réal le plus gentil et efficace qu'on puisse trouver…
Un coup de tel, une bonne idée du lascar et en route pour un scopitone qui déchire sa reum (pour reprendre les mots de Didier Wampas).
David a un emploi du temps de ministre, donc quand tu arrives à le choper tu le lâches pas pendant quelques heures et il te pond un scopitone génial dans la journée. BINGO !
L'Armée Du Love kiffe ce gars-là! …David Vallet et ses scopitones: Ils sont terribles ! Tout ça c'est très LOVE »

« Lorsqu’on a reçu l’invitation de David Vallet, on s’est tout de suite demandé : on fait ça où? En tant que Montréalais de passage à Paris on s’est dit qu’on allait profiter de l’occasion pour visiter un lieu mythique, genre que tu retrouves dans un guide de voyage –la vie de tournée ne se prête que rarement au tourisme, hein, alors… Quelqu’un a suggéré le Père-Lachaise, j’ai dit « ouais, j’ai toujours voulu voir ça! Et on jouera « Danser sur ma tombe » ça va faire tout un concept, tabarnak!!! ». Comme c’est illégal de jouer de la musique au cimetière, on a donc fait notre truc parmi les tombes en se cachant des patrouilles des gardiens des morts et autres flics… C’est pas précisément ça, le rock n’roll ? »

"David Vallet est le filmeur le plus vif et le moins gnan-gnan du monde. L'antidote parfait au pompiérisme et à la mièvrerie de l'époque. Quand tu veux, David"

"Le process du Scopitone tel que l'a imaginé David Vallet est un travail qui nous a toujours beaucoup plu. Une idée, un plan, et hop on tourne dans la foulée avec les moyens du bord. David est un mec passionné, qui a l'oeil et qui aime la musique et ses acteurs. Nous sommes devenus amis depuis et c'est a chaque fois un vrai bonheur de bosser avec lui! Bonne humeur et délire garanti. Rock'n'roll! "

"Avant il y avait Andrée Davis-Boyer, Lelouch ou Pierre Cardinal... Maintenant il y a David Vallet, avec qui j'ai tourné deux Scopitone à la vitesse de l'éclair. Une idée, des copains, une chanson. Il est certain que contrairement à ses ancêtres des 60s, celui-ci ne nous lâchera jamais pour aller écrire dans les cahiers du cinéma, car il est l’œil de ce que le rock fait de mieux en France."

A chaque fois que nous voyons David, ce n'est que pompes, course, muscu, ou piscine par moins 10 degrés. Un jour on découvrira qu'il bosse pour Stade 2 et que son perfecto est en Gore-Tex. De plus nous avons tourné le scopitone n°69 ensemble, hasard ou complot, l'avenir nous le dira...

C'était pour la chanson « sois mort et tais toi », on devait se retrouver au bar Les marcheurs de planète dont le patron est un copain. J'avais invité pas mal de gens pour faire une ambiance de fête (parce-que malgré son titre, la chanson est plutôt festive). Avec David, on avait prévu d'y être une heure en avance pour organiser l'affaire. David se pointe, il fait le tour du bar, et me fait remarquer une espèce de puits en vieilles pierres, un peu flippant... « tu rentrerais avec ta contrebasse là dedans ? »
Le scopitone s'est tourné en une heure, les trois premiers arrivants ont participé à la fête, au fond du puits, et le reste de la soirée s'est poursuivie de la plus sobre des manières : une fête sans caméra...

La 101ème. Celle après la 100ème et juste avant la 102ème. Sur une plage de Normandie. Rencontre hollywoodienne entre un punk bodybuildé et une rappeuse aux gros seins. Le résultat est forcément américain. David Vallet, tu as fait de moi une dompteuse de bodyboard, la prochaine égérie BananaMoon 1916-1917 et désormais, quand je mets de la crème solaire, je me fais arrêter par les flics pour proxénétisme. Merci de m’avoir révélée à ma propre connerie. Dieu te l’rendra pas. Et c’est toute la beauté de se zNot Dead Scopitone.

Après trois jours de festival dans leur salle du Tapis rouge à Colombes, Vex avait rendez-vous pour un tournage énervé d'un scopitone mémorable. Tout en déguisements, très calme puis très en folie explosive. Sorte de Harlem Shake bizarre en couleur et noir et blanc. 1er album et premier clip du titre "mal finir " super souvenir en nombreuses prises. Grosse fatigue et grand plaisir. Respect à scopitone not dead.

Le Vallet a bien su me garder de rendre le contenu de mon estomax du sommet de la Grande Roue, permettant une performance sauvage. Hourra ! Et que le Scopitone ne soit jamais dead ! Amour xxxx

Un jour sur une terrasse de Ménilmontant, le copain Nicolas Jules m'a demandé de me foutre a poil dans son clip. Le casting réuni pour l'occas' était plutôt persuasif. Pis on peut pas dire non à un copain. C'est comme ça qu'on s'est retrouvés six mecs dans la cuisine d'un resto corse en banlieue déguisée en sauna, à s'entre-huiler nos corps dans une ambiance torride à souhait, et que j'ai découvert le joli boulot de David Vallet. Quand mon disque à moi est sorti, j'ai eu l'envie de lui demander de me remettre à nu sur pellicule. On est restés habillés pour le coup, mais ma chanson a gagné un joli costard taillé Scopitone sur mesure. Chapeau. Et merci.